Avec Magalli, tu peux chérir d’amour une petite poule ! [Séquence émotion]

IMG_6583Elle s’appelle Betty, c’est une jolie petite poulette grise… Ceux qui me suivent sur les réseaux sociaux le savent, on a déjà vécu des moments forts, elle et moi. Elle a rejoint mon jardin et nous la chérissons d’amour pour qu’elle nous fasse de bons et beaux œufs ! Aujourd’hui, je vous raconte comment cette petite poule a « atterri » chez moi, pour le plus grand bonheur de ma cuisine et de ma famille.

Si je vis à présent en zone péri-urbaine, j’ai été élevée à la campagne et d’aussi loin que je me souvienne, il y a toujours eu des poules dans mon environnement (de toutes sortes certes, mais on va se concentrer sur les gallinacés 🙂 ). J’ai en vrac des souvenirs à la pelle, allant de la fin de repas à la cantine qui invariablement conduisait la petite fille difficile que j’étais à aller vider son assiette aux poules de l’école, en passant par les deux ou trois poules du jardin de ville de ma grand-mère, pour finir jusqu’aux poules qui caquettent en liberté à la cambrousse et qui font partie du décor champêtre que j’aime tant lorsque je retourne voir ma famille. C’est donc presque naturellement que le concept de la marque Magalli m’a d’emblée séduite ! Mais commençons par les présentations…

Magalli, le concept !

LOGO-MAGALLI-RVB-1100x778Le 23 février dernier, j’ai été conviée à une conférence de presse afin de découvrir un nouveau concept baptisé Magalli. Comme le Bureau de Presse Agroalimentaire fait bien les choses, l’invitation était suffisamment renseignée tout en évoquant un concept assez énigmatique pour titiller ma curiosité. De la poule, à l’oeuf et donc à la pâtisserie, à la cuisine… il n’y avait qu’un pas (ou plutôt deux). J’ai donc décidé de m’y rendre après mon travail afin de découvrir ce qu’était Magalli.

Matthias Michel, Didier Langlais et d’autres membres associés au projet nous ont donc présenté une nouvelle entreprise bretonne nommée Distrigalli et leur initiative originale : introduire des petites poules chez les péri-urbains… Bon, mes propos sont un peu réducteurs mais l’idée est bien de répondre aux préoccupations des consommateurs, vivants plutôt hors campagne, soucieux de produire leur propre alimentation et qui souhaitent revenir à des plaisirs simples. Comment ? En leur proposant d’avoir une poule chez eux ! Pour cela, Distrigalli a développé un concept qui propose aux « gens des villes » :  l’animal, l’aliment et les « service après-vente » sous la marque Magalli ! Les poules comme également l’alimentation qui leur convient sont en vente dans des jardineries (à ce jour chez Jardiland mais d’autres réseaux devraient au cours de l’année accueillir également la marque).

Adopter une poule Magalli, c’est aussi avoir l’assurance du bon état de santé de votre volaille car chaque animal est vacciné. Le propriétaire d’une petite poule peut également avoir accès à toutes les informations concernant la « lignée » de sa gallinacée en se connectant au site internet de la marque et en y entrant le numéro figurant sur la bague de l’animal. A cela s’ajoute également le choix parmi 3 grandes familles en fonction des souhaits : pondeuses, ornementales ou de races traditionnelles françaises. A chaque consommateur, il y a une poule qui lui convient !

Produits de la marque Magalli - www.cuisinedetouslesjours.com

Produits de la marque Magalli – www.cuisinedetouslesjours.com

♫ ♪ ♫ Nous deux, nous deux, toi et moi … ♪ ♫

A l’issue de la conférence de presse, Distrigalli et Le Bureau de Presse Agroalimentaire m’ont proposé d’adopter une petite poule Magalli. Si l’idée m’a séduite, il faut bien avouer qu’elle a aussi fait naître en moi quelques interrogations. Comment acheminer la bestiole jusqu’à chez moi ? Je t’explique… Comme bon nombre d’habitants de la périphérie rennaise, je me déplace quotidiennement en transports en commun. Lorsque je me suis préoccupée de ce problème logistique la réponse des gens de chez Distrigalli ne s’est pas faite attendre : une boîte spécialement étudiée pour le confort et le transport de l’animal a également été conçue.

Mon choix s’est porté sur une jolie poulette grise, dite pondeuse. Le temps d’une soirée ma Magalli est donc également devenue un animal de compagnie. Car c’est ainsi qu’elle et moi avons pris le métro et le bus, éveillant comme vous l’imaginez la curiosité des autres passagers (particulièrement lorsqu’elle a eu l’idée de sortir sa petite tête par le trou prévu à cet effet). J’ai ainsi, bien involontairement, pu constater le « capital sympathie » des poules auprès des gens…

Arrivée à destination, c’est toute la maison qui s’est prise d’affection pour la nouvelle venue, mon fils décrétant immédiatement  : « J’aimerais qu’on l’appelle Betty, et celle-là, on ne la mangera jamais, hein ? ». L’idée ne fut donc pas longue a faire son chemin dans mon foyer et l’adoption fut immédiate. Mon gentil voisin, bien qu’un peu surpris, a immédiatement accepté que ma petite poule rejoigne les siennes le temps d’organiser son installation chez nous.

Le jour où j'ai pris les transports en commun avec une poule - www.cuisinedetouslesjours.com

Le jour où j’ai pris les transports en commun avec une poule – www.cuisinedetouslesjours.com

Avec amour, ta poule, tu chériras !

Avoir une poule, c’est bien ! Mais comme pour n’importe quel autre animal, cela nécessite de s’en occuper. Il convient d’abord de bien l’installer puis ensuite de la nourrir et de la soigner. Alors le week-end qui a suivi l’arrivée de Betty, avec Mr Sugar Baby, nous sommes partis en quête d’une « maison » pour la cocotte.

Nous aurions pu envisager un gîte « fait maison », mais le temps nous manquait et je sentais mon homme peu motivé à l’idée de passer de nombreuses heures à concevoir puis construire le poulailler et l’enclos, et encore moins tenté par celle de poser sur la pelouse une « verrue faite de bric et de broc » offerte à la vue. Après investigations dans plusieurs jardineries, notre choix s’est porté sur une version en bois plutôt jolie et « clé en main » (ou presque, il a fallu 4 heures pour le montage) qui fut finalement en provenance de chez un destockeur qui proposait un rapport qualité-prix convenable et qui rentrait dans notre budget. L’enclos était également inclus, tout était donc parfait.

Si l’alimentation et le poulailler n’étaient plus un problème, l’installation de la poule nécessitait également d’autres fournitures : abreuvoir, distributeur de nourriture, paille… Lorsque, tout fut rassemblé puis installé, nous avons donc déposé notre poule dans son nouveau « chez elle ». L’acclimatation s’est faite naturellement et environ 15 jours plus tard, Betty nous donnait son premier œuf. Concernant l’installation, nous avons par la suite uniquement investi dans un produit insecticide naturel afin de lutter contre les poux lorsqu’ils pourraient apparaître aux premières chaleurs.

Poule de la marque Magalli - www.cuisinedetouslesjours.com

Poule de la marque Magalli – www.cuisinedetouslesjours.com

Ça roule, ma poule !

Nous sommes à présent passés à la phase « entretien ». Nous continuons à lui fournir de l’alimentation adaptée Magalli et ajoutons nos déchets verts à son menu quotidien. Mon mari et moi, nettoyons régulièrement la « litière » et changeons la paille environ tous les 15 jours. Bref, tout roule… ma poule !

Dernier point : une poule, ça n’aime pas vivre seule… Alors ma maman m’a gentillement offert, pour tenir compagnie à notre Betty, une petite copine en provenance de la campagne : Marguerite. Nos deux poules entament à présent de longues conversations autour du distributeur de nourriture, ce qui nous ravis et donne à notre jardin un »vrai » air de campagne.

Chaque jour, le bonheur du plus jeune de la maison est d’aller voir les poules en rentrant de l’école (je soupçonne qu’il partage avec elles également le morceau de gâteau ou de brioche du goûter). Tous les jours, il vérifie qu’elles aient nourriture, eau et ramasse les oeufs qu’il nous ramène avec toujours autant d’excitation. Il se sent investi d’une mission et prend très à cœur cette responsabilité.

Des oeufs, une jolie présence qui donne une ambiance champêtre à mon jardin, l’occasion pour un enfant d’une nouvelle responsabilité qui lui procure estime de soi et fierté… Il n’en faut pas plus pour faire mon bonheur !

Merci encore à Distrigalli et au Bureau de Presse Agroalimentaire pour ce joli « cadeau »… 

Amis rennais si l’adoption d’une ou plusieurs petites poulettes vous tente également, vous pourrez trouver les poules et les aliments Magalli en vente au magasin Jardiland à Cesson-Sévigné.

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Poule de la marque Magalli - www.cuisinedetouslesjours.com

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10 Commentaires

  • Répondre
    Marie Dauverchain-Duquenne
    27 mars, 2016 at 21 h 55 min

    J’ai toujours aimé les poules, voici un an que nous avons deux poules Léa une leghorn blanche et Zoé une Orpinghon rousse, elles sont adorables et nous offrent 2 œufs par jour, elles sont devenues nos animaux de compagnie, et font aussi la grande joie de nos petits enfants.

    • Répondre
      Butter Addict
      28 mars, 2016 at 15 h 08 min

      Vous avez bien raison, Marie. Avoir des petites poules fait le bonheur des enfants (et des cuisinières) 😉

  • Répondre
    koalisabear
    26 mars, 2016 at 11 h 45 min

    Des poules de luxe, on dirait ! Bises

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    lalydo
    26 mars, 2016 at 11 h 34 min

    Ça donne envie! Cela fait un moment que nous souhaitons avoir des poules mais le fait que nous soyons locataires freinent un peu nos envies… Mais on y réfléchit toujours, ce n’est pas perdu 😉
    Des gratte-grattes à Betty et Marguerite!

    • Répondre
      Butter Addict
      26 mars, 2016 at 17 h 53 min

      Effectivement, c’est plus compliqué dans cette situation.
      Betty et Marguerite te font d’affectueux caquètements également 😉

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    powings
    25 mars, 2016 at 14 h 10 min

    Oh c’est super ça , elles ont l’air bien les petites poulettes là, la belle vie 🙂

    • Répondre
      Butter Addict
      26 mars, 2016 at 17 h 55 min

      Oui, des poulettes « au poil » 😉 qui se la coulent douce !

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    Cambroussienne
    25 mars, 2016 at 13 h 53 min

    C’est à cause de personnes comme toi qu’on se retrouve un après-midi de fin de semaine à consulter un site expliquant comment fabriquer un petit poulailler…. Merci hein. 🙂

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      Butter Addict
      26 mars, 2016 at 17 h 57 min

      C’est que du bonheur, c’est pour ça que tu as succombé… 😉
      Bises et tiens moi au courant

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